Il a précisé que "depuis 72 heures, les nôtres ne peuvent pas travailler. Nous constatons qu’aucune décision, aucune initiative ne soit prises pour améliorer la situation".
Le porte-parole de l'UGTCI a rappelé qu' "en 2008, nous avions suspendu notre mot d’ordre en espérant avoir en face des personnes qui soient assez réceptives. Nous constatons avec regret qu’on va donc, il est bon de l’écrire et de l’affirmer, prendre, nos responsabilités parce que nous ne pourrons pas accepter que les nôtres continuent de souffrir et que les nôtres soient les seuls à vivre cette situation de crise".
|